CEG AMAKPAPE: Le directeur Ali Djato défie le ministre Kokoroko en percevant des frais supplémentaires chez les parents d’élèves.
Les parents d’élèves du CEG Amakpapé sont très furieux contre le directeur Ali Djato. Ce dernier perçoit des frais supplémentaires contrairement à la décision du ministre Kokoroko.
Pour le compte de l’année scolaire 2021-2022, les frais de scolarité sont gratuits dans l’enseignement secondaire. Mais la question qui taraude les esprits était liée au payement des frais parallèles. Le payement de ces frais parallèles était une préoccupation pour plusieurs.
C’est donc pourquoi bien avant la rentrée, le ministre des enseignements primaire, secondaire, technique et de l’artisanat a donné des directives aux chefs d’établissement. Dans une note, le Prof Dodzi Kokoroko affirmait recevoir, de manière récurrente, que des chefs d’établissement perçoivent des frais supplémentaires, au-delà des plafonds des frais parallèles normalement fixés (les frais parallèles fixés normalement s’élèvent à 3000 FCFA pour le premier cycle du secondaire Collège, et 5000 FCFA pour le second cycle du secondaire Lycée des enseignements général et technique).
Pour le ministre, aucun chef d’établissement ne doit plus exiger d’un parent d’élève, le payement de frais supplémentaires ou spéciaux pour l’inscription aux examens. De même qu’en ce qui concerne l’achat de tables-bancs, de fournitures, de matériels ou pour tout autre besoin.
Mais seulement voilà quelques jours après la rentrée le directeur du CEG Amakpapé est pointé du doigt par les parents d’élèves de cet établissement. Selon les parents d’élèves, le directeur du CEG Amakpapé balaye du revers de la main cette décision de son ministre de tutelle en instaurant les parallèles à 6500 au lieu de 3000 franc pour les collèges. Les 3500 Franc de surplus vont servir à faire quoi? De plus selon l’un des membres du comité des parents d’élèves le CEG AMAKPAPE dispose de tables-banc en réserve. Pourquoi le directeur de cet établissement ne veux pas respecter la décision de son ministre de tutelle ?
En tout cas ce qui est sûr, les parents d’élèves sont dépassés par cette situation. Ils condamnent cet acte du directeur Ali Djato et appellent le ministre des enseignements primaire, secondaire, technique et de l’artisanat le Prof Dodzi Kokoroko au secours.
Les parents n’ont qu’à renvoyer le directeur
hahahha, c’est très facile ça mon cher DEMASSIWO, ils ont eu pour leur compte avec le ministre Kokoroko
Merci mon grand pour ton commentaire