Chronique du professeur/Leçon de vie : Le succès se trouve au bout de l’effort

Quand une pierre tombe du ciel, chacun protège sa tête dans ses mains. Mais il y a une pierre invisible en chute libre qui va fracasser la tête de l’humanité…
Le malheur de beaucoup de femmes aujourd’hui c’est qu’elles croient religieusement que leur poitrine et leurs fesses suffisent pour réussir dans la vie alors que personne n’a rien réussi dans la vie sans efforts. Et les femmes qui réussissent et durent dans une relation, dans un mariage et dans un foyer ne sont pas celles qui exhibent leur poitrine ou balancent leurs fesses mais celles qui utilisent leur intelligence et refusent de faire carrière «fessière» sur le lit des hommes.
Nous vivons en ce 21e siècle une période de l’humanité où beaucoup de femmes et d’hommes n’ont pas la chance d’accomplir leur devoir de procréer, pas parce qu’ils soient stériles mais à cause de leur mauvais choix.
Il y a à peu près 30 ans, une femme qui a atteint ses 25 ans, était déjà maman d’un ou de trois enfants. Et si tel n’était pas le cas, ses parents se faisaient des soucis pour son avenir. Et il y a à peu près 41 ans, un homme qui a atteint ses 35 ans et qui n’est pas mariée et n’a pas d’enfants, était sujet d’inquiétudes pour ses parents.
Aujourd’hui à 37 ans, 68,3% de femmes surtout d’origine africaine ne sont même pas dans une relation qui leur donne espoir de porter la robe blanche et une grossesse à leur 40 ans. Et presque 78,4 % d’hommes à 48 ans et demi ne savent même pas s’ils seraient un jour père et diriger une famille. La notion de fonder une famille est en voie de disparition.
La survie de l’inhumanité est gravement menacée. L’homosexualité, même si je n’ai personnellement rien contre, est encouragée dans plusieurs pays dits de confession catholique. On a aujourd’hui l’impression comme si le paradis est rempli d’homosexuels. Il est plus facile aujourd’hui dans certains pays surtout occidentaux de changer son genre et son sexe que de changer son vélo faute de moyens.
L’humanité est gravement menacée mais ça n’inquiète personne. On voit aujourd’hui sur les réseaux sociaux de vieilles femmes fanées s’exhiber et se ridiculiser, certaines revendiquant même être femmes au foyer. Quels modèle et exemple sont-elles pour leurs propres enfants si elles en ont!
Certaines femmes malgré leur beauté extérieure frappante, n’ont pas eu la chance d’avoir reçue une bonne éducation parentale et elles ont en plus un caractère très dégoûtant. C’est elles qui ont pour leur malheur leur beauté. Certains hommes malgré leur apparence d’ange inoffensif, sont de vrais prédateurs narcissiques qui atteignent leur pouvoir orgasmique en maltraitant leur propre femme ou en les chosifiant.
Une femme qui tolère et supporte la violence d’un homme, est responsable de son malheur. Tant que les Hommes (j’ai bien écrit H) ne comprendraient pas que personne ne doit supporter une souffrance peu importe d’où ou de qui elle vient, alors la souffrance existera.
Tant qu’il y aura des proies, il y aura des prédateurs. Et quand les proies vont disparaître, les prédateurs disparaîtront aussi. Nous devons tous sans exception redéfinir notre part de contribution à la survie de l’humanité et non croire que c’est l’affaire des autres et surtout des gouvernants.
La femme, la bonne doit être classée espèce en voie de disparition. Elle est l’unique garantie de la survie de l’humanité. Nous devons protéger la femme et surtout la sensibiliser contre la nuisance et les dérives que représentent aujourd’hui les réseaux sociaux pour ses valeurs éducatives et sociales. L’image de la femme sur les réseaux sociaux doit être protégée!
Le Professeur de Batonou